Au cœur de l'unité Innovative Medicines de Bristol Myers Squibb 

30 mai 2021     
Réduire la dépendance transfusionnelle des patients

Engagé contre les maladies inflammatoires et auto-immunes, Bristol Myers Squibb défend une vision globale de la prise en charge des patients. Rencontre avec le Dr Liliane Lamezec, directrice médicale de l’unité thérapeutique Innovative Medicines.

Qui est Bristol Myers Squibb ?


Bristol Myers Squibb est une entreprise biopharmaceutique internationale. Nous développons de nouvelles molécules afin d’apporter davantage de solutions aux patients atteints de maladies graves. Nous sommes présents dans différents domaines : immunologie, fibrose, cancérologie et cardiologie. Notre pipeline est riche de 50 molécules en développement dans plus de 40 pathologies différentes. L’unité thérapeutique Innovative Medicines se concentre sur l’immunologie, la fibrose et la cardiologie.

Quelle est la place donnée aux maladies auto-immunes ?


Nous sommes présents dans ce domaine depuis une vingtaine d’années. Notre équipe de chercheurs, située aux Etats-Unis, travaille sur plus de 20 programmes de développement dans les rhumatismes inflammatoires chroniques et les maladies inflammatoires. Nous sommes également actifs dans la sclérose en plaques, également appelée SEP, où de nombreux progrès ont été réalisés offrant de nouvelles options thérapeutiques pour les patients. Dans la SEP, comme dans toutes les maladies auto-immunes, notre réflexion vise à traiter la pathologie de manière globale en améliorant la prise en charge des patients et leur qualité de vie. Cette approche est d’autant plus importante que la SEP est une maladie qui débute chez des personnes jeunes puis qui évolue avec des impacts physiques et cognitifs.

Quelle est l’ambition de Bristol Myers Squibb dans la sclérose en plaques ?


Notre intérêt pour la SEP est né avec l’acquisition de Celgene, il y a deux ans. Grâce à l’imagerie, nous souhaitons aujourd’hui éclaircir les mécanismes physio- pathologiques impliqués dans les troubles de la cognition et nous nous intéressons notamment à l’atrophie cérébrale dans l’objectif de la ralentir. Pour cela, nous travaillons de manière collaborative avec les associations de patients, les sociétés savantes comme l’OFSEP et les réseaux de prise en charge. Ces échanges nous permettent de développer et de soutenir des projets, comme des programmes facilitant l’échange avec l’entourage, qui répondent aux réels besoins des patients. Pour mieux structurer la prise en charge globale des troubles cognitifs, nous nous attachons à identifier les centres d’excellence les plus avancés dans le domaine afin de faciliter le partage de leur expérience avec leurs pairs.

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